Tanzanie

Nos amis producteurs

24 décembre 2021
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Lorsque je demande à Bente, qui signe les meilleurs thés de Tanzanie, en quoi Palais des Thés lui est utile, à elle et à sa communauté, la réponse fuse :

– Pour payer les salaires !

Et elle ajoute : …pour assurer la sécurité de la plantation, des salariés…Et pour la fierté, bien sûr !

– Merci pour votre support, complète Bente, et merci de nous aider à nous faire un nom dans le monde du thé. Quand vous venez avec vos équipes, vous me montrez ainsi qu’à tous ici que vous croyez en nous et que l’on peut compter sur vous !

À Bente, à nos amis producteurs, à nos clients, à nos équipes, je souhaite de très joyeuses Fêtes !

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Le goût de l’innovation

26 novembre 2021
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Le thé, c’est une histoire de tradition, certes, mais il n’est pas interdit d’innover. En Tanzanie, Bente, qui a eu l’audace d’installer des théiers au sein d’une plantation de café, cultive le goût de la créativité. Parfois elle évide des papayes afin de les remplir de thé et qu’au contact du fruit les feuilles de camélia se chargent de leur arôme. D’autres fois, elle souffle de l’air chaud sur des bananes coupées en rondelles pour que là aussi le thé s’imprègne d’un parfum inédit. Et tout cela, de la façon la plus artisanale qui soit. Bravo Bente !

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Des tailles variées

19 novembre 2021
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Deux champs de thé ne se ressemblent pas forcément et d’un planteur à l’autre, les pratiques agricoles varient. En ce qui concerne la taille, certains éclaircissent une fois l’an le théier et égalisent ses branches de façon à former ce que l’on appelle une table de cueillette. D’autres, comme ici chez notre amie Bente, en Tanzanie, interviennent de façon différente afin de donner davantage de lumière au théier, y compris au niveau des branches inférieures. 

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Transmettre, c’est mieux.

12 novembre 2021
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Apprendre, c’est bien, transmettre, c’est mieux. Depuis plus de 30 ans que je parcours les jardins de thé, j’ai accumulé assez de savoir pour à mon tour en dispenser. Et si je continue, chaque jour et à chaque voyage, de découvrir quelque chose au sujet du thé, je considère dorénavant comme ma mission première de transmettre ce savoir. Voilà pourquoi j’invite mes collaborateurs en voyage, et je vais le faire davantage. Je souhaite qu’eux aussi rencontrent les fermiers, je souhaite qu’eux aussi vivent sur le terrain leur passion pour le thé, je souhaite qu’eux aussi, nouent des liens chaleureux avec les hommes et les femmes qui le manufacturent en haut de leur montagne, et nous accueillent toujours les bras ouverts. Ici, sur les pentes du Kilimandjaro, en compagnie de Chloé et de Nathalie, et d’une équipe de cueilleuses et de cueilleur.

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Au pied du Kilimandjaro

5 novembre 2021
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La seule plantation de Tanzanie à manufacturer des thés qui peuvent prétendre à l’appellation de grands crus se situe à une heure de piste de la ville de Moshi. A vrai dire, il s’agit davantage d’un jardin que d’une plantation. Et il est vraiment de taille très réduite comme on peut le voir sur la photo. On y façonne différents lots de la façon la plus artisanale qui soit. C’est une femme qui dirige cette manufacture, elle se nomme Bente, et depuis sa maison on peut jouir, tôt le matin ainsi qu’en fin de journée, d’une vue splendide sur le Kilimandjaro.

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Des papayes et du thé

25 décembre 2020
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Toutes les initiatives existent et lorsqu’on a la chance de pratiquer le métier de chercheur de thé, on est aux premières loges pour faire connaissance avec les initiatives les plus variées. Ici, dans une plantation de café de Tanzanie, qui s’essaye aussi à la culture du thé, les expérimentations ne manquent pas. La dernière en date, évider des papayes pour les fourrer d’un thé semi-oxydé que l’on a préalablement flétri et roulé.. Après une courte oxydation, on cale la feuille humide dans le creux du fruit mûr pour qu’elle s’imprègne de leur délicieux parfum.

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