En association avec un chocolat blanc, le thé vert se révèle être un compagnon formidable. On peut opter pour un Gyokuro Hikari, ou un Genmaicha (mélange de thé et de riz soufflé). Pour un chocolat au lait ou praliné, là aussi le Japon fait merveille, avec des thés grillés cette fois, un shiraore kuki hojicha, par exemple, sinon un bancha Hojicha. Et pour un chocolat noir, noblesse oblige, vous avez le choix entre un Qimen Mao Feng, un Jukro, un Bourgeons de Yunnan Premium ou un Pu Erh Impérial.
Le thé ne doit pas être servi brûlant lorsqu’on l’associe ainsi. On le laisse reposer un peu pour que la température de la liqueur ne soit pas excessive par rapport à celle du chocolat. Et, pour mémoire, qu’est-ce qu’un mariage réussi sinon un mariage où chacun met l’autre en valeur. Ici, le thé sert le chocolat, et le chocolat, le thé.

En lisant j’avais déjà l’impression de déguster un bon thé vert avec mon carré de chocolat
Article intéressant, mais un peu court à mon goût — le sujet méritait vraiment plus de détails ! Associer le thé au chocolat, c’est un art en soi.
Par exemple, un matcha légèrement amer peut aussi très bien fonctionner avec un chocolat blanc, surtout s’il est travaillé en ganache. Et pour le chocolat noir, j’aime bien jouer sur le contraste : un thé fumé type Lapsang Souchong ou un Darjeeling d’automne révèle des notes très différentes selon le pourcentage de cacao.
Ça aurait été sympa d’avoir quelques conseils de température ou de dosage aussi — parce que c’est souvent là que tout se joue