ARCHIVE DE juin 2021

La paix !

25 juin 2021
La paix !

La Covid19 aura au moins eu le mérite de rendre un peu de sérénité à des lieux de toute beauté, trop souvent pris d’assaut par des hordes de touristes. Au Myanmar, le lac Inle fait partie de ces destinations merveilleuses qu’il importe de préserver. Nul doute que pour la planète, la pandémie aura été synonyme de paix.

Je vous souhaite un bel été, et me réjouis de vous retrouver le 10 septembre prochain.

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Au bout du chemin

18 juin 2021
Au bout du chemin

Vivement que la vie reprenne, dans toute sa beauté, dans toute sa plénitude.

Vivement que nos sens reviennent et que nous retrouvions, lorsque nous marchons, le sens des odeurs.

Vivement que le goût des choses nous revienne à son tour, le goût du thé, bien sûr, celui qui nous est offert lorsque nous sommes accueillis, au bout du chemin.

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Tapis vert

11 juin 2021
Tapis vert

Le tapis vert n’est pas toujours synonyme de jeux de hasard. La qualité du thé que l’on produit à partir des feuilles récoltées sur cette belle étendue émeraude n’a que peu à voir avec la chance. Pour produire le meilleur thé, il s’agit plutôt de ne récolter que le bourgeon ainsi que les deux jeunes pousses terminales qui se situent à l’extrémité des rameaux. Les étapes suivantes, qui auront lieu cette fois dans la manufacture de thé, seront aussi décisives sur la qualité.

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Frères et sœurs

4 juin 2021
Frères et sœurs

Un jour, il y a plus de dix ans de cela, j’ai rencontré quelqu’un de (très) célèbre et l’une des phrases qu’il m’a dite a changé ma vie. Cette personne s’appelle Richard Gere et le jour où j’ai eu le bonheur de le rencontrer, il m’a demandé, lui qui est amoureux de Darjeeling, de l’Himalaya, lui qui est un adepte du bouddhisme il m’a donc demandé, ce que Palais des Thés faisait « pour nos frères et nos sœurs de l’Himalaya ». Je suis resté comme deux ronds de flan, à l’énoncé de cette expression, nos frères et nos sœurs de l’Himalaya. Cette phrase, cette question a changé ma vie. Parce que depuis ce jour, à chaque fois que je vois une cueilleuse, un cueilleur, je pense à la question de cet homme, qui m’avait pris au dépourvu, je pense à sa façon de nommer celles et ceux qui habitent ces montagnes, et depuis, ce ne sont plus des cueilleurs, des cueilleuses, que je vois, ce sont des frères, des sœurs. Et ça change tout.

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