ARCHIVE DE septembre 2021

Au temps des Soviets

23 septembre 2021
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En Géorgie, les Soviets ont laissé derrière eux des bâtiments d’habitation qu’on dirait poussés au milieu de nulle part. A l’époque où le thé représentait une industrie intensive, ces bâtiments faisaient sens. Mais aujourd’hui, l’exode rural aidant et les plantations souvent disparues sous les mauvaises herbes, les mêmes bâtiments évoquent un passé révolu.

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Une flore exubérante

17 septembre 2021
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En Géorgie, le thé pousse essentiellement dans les provinces de Gourie et d’Imeréthie, sous un vent d’ouest dominant qui pousse à longueur d’année des nuages chargés de toute l’humidité de la mer Noire. Des régions montagneuses et couvertes de jungle. Les théiers n’ayant pas été entretenus durant près de trente ans, il faut arracher fougères et ronces pour les retrouver, entre deux cueillettes. Un travail de titan pour les petits producteurs et leurs équipes qui voient en quinze jours leurs camellia sinensis disparaître sous une flore exubérante.

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La Géorgie encourage les petits producteurs

10 septembre 2021
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A l’époque des Soviets, la Géorgie produisait beaucoup de thé pour toute l’URSS. Seulement, à l’heure de son indépendance, après le retrait des troupes, il ne restait plus rien des moyens de production, sinon des bâtiments déserts.

En l’espace de quelques années, on est passé de 152.000 tonnes de thé produit par an à seulement 1.800 tonnes. Depuis 2016, la culture du thé est remise au goût du jour par le gouvernement géorgien, qui encourage des petits producteurs à s’installer, à produire du thé de qualité, à embaucher, dans le but de contribuer à lutter contre l’exode rural.

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