ARCHIVE DE janvier 2016

Comprendre les sensations en bouche

29 janvier 2016
Comprendre les sensations en bouche

Trois sens sont concernés lorsque l’on a le thé en bouche et que l’on en analyse la liqueur : le goût – il se concentre sur les saveurs (sucré, salé, acide, amer, umami…)-, l’odorat – et on le rend plus performant encore grâce à la technique de la rétro-olfaction (technique qui consiste à expirer l’air par le nez pour amener davantage de molécules olfactives dans la cavité rétro-nasale)-, et le toucher qui nous indique bien sûr le chaud ou le froid, l’astringence ou bien le soyeux, entre autres sensations tactiles. Si l’on veut décrire un thé, il est essentiel de bien comprendre ce qui est du domaine des saveurs, du domaine des notes olfactives ou encore du domaine du toucher. Cela va nous aider aussi lorsque nous dégustons à plusieurs, afin de partager nos sensations.

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La dégustation du thé, une histoire de sens

22 janvier 2016
La dégustation du thé, une histoire de sens

Lorsque je donne un cours à l’École du Thé, ou bien lorsque j’organise une dégustation pour des collègues, l’une des premières choses que je fais est de leur poser une question très simple : une fois que vous avez mis un aliment dans votre bouche, combien de sens sont en contact avec cet aliment et lesquels ? Et ça ne manque pas, les réponses varient. Or il est essentiel pour déguster, et c’est valable pour n’importe quel aliment, de comprendre quels sont les sens concernés et ensuite de se construire le vocabulaire adéquat.

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Les Pu Erh, une famille de thés fascinante

15 janvier 2016
Les Pu Erh, une famille de thés fascinante

 

A cette époque de l’année, j’apprécie particulièrement savourer un Pu Erh après le repas. D’abord il est dit en Chine que ce thé « dissout les graisses » et aide à prévenir le cholestérol. D’autre part, j’aime son odeur de terre mouillée, de bois vermoulu, de paille humide, son odeur d’étable, de champignon, de mousse de chêne, son odeur de cave, de bois sec, de réglisse, son odeur de crinière, de cire, de silex, son odeur végétale, son odeur fruitée.

D’un pu erh à l’autre, la panoplie des notes olfactives est large, une raison supplémentaire de découvrir cette famille de thés fascinante, les seuls qui ont subi une réelle fermentation. Ils existent en vrac ou bien en galette, ils peuvent être « crus » ou bien « cuits », selon qu’ils ont fermenté selon une méthode traditionnelle ou bien de façon accélérée, ils peuvent enfin se bonifier en vieillissant, tels de bons vins.

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Un pont comme un passage

8 janvier 2016
Un pont comme un passage

 

Pour célébrer le passage de 2015 à 2016, je choisis cette photo prise au Japon, aux environs de Shizuoka. J’aime les ponts suspendus, ces passages au-dessus du vide qui s’empruntent parfois avec une pointe d’appréhension vite dissipée. Je vous souhaite une année heureuse, paisible. Je vous souhaite de suivre une belle route. Je vous souhaite de vivre en harmonie, harmonie avec vous-mêmes, harmonie avec les autres. Je nous souhaite de vivre épanouis au milieu de celles et ceux dont nous aurons peut-être eu la chance de pouvoir contribuer à l’épanouissement.

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Pour un futur harmonieux

1 janvier 2016
Pour un futur harmonieux

On peut me raconter tout ce qu’on veut, je reste convaincu que l’éducation est la clé d’une société où il fait bon vivre ensemble. La clé pour l’égalité des chances. En voyage dans les champs de thé, je ne rate jamais une occasion de visiter l’école du village, de bavarder aussi bien avec les élèves qu’avec les professeurs.

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