Rejoindre les théiers sauvages à la frontière sino-viétnamienne n’est pas une mince affaire, surtout à la saison chaude. L’air suffocant et moite ralentit la marche et les sangsues qui infestent la région en profitent pour s’agripper à vous. On marche sous un soleil de plomb. L’humidité de l’air est palpable. Mais, une fois sorti de la jungle, après trois bonnes heures d’effort, on se retrouve assez haut pour découvrir ces fameux théiers qu’on a laissé pousser comme des arbres, et jouir d’un beau spectacle, surtout si on a la chance d’arriver pile à l’heure de la cueillette… (à suivre).
Une cueillette au sommet
9 septembre 2016