Le camellia sinensis se plaît sur les terres pentues car il n’aime pas que de l’eau stagne au niveau de ses racines. Dans certaines régions du monde comme au Népal ou bien ici à Darjeeling, ces pentes s’avèrent assez impressionnantes. Au hasard de mes promenades il m’arrive souvent de découvrir un petit village agrippé à la pente et qui surplombe un champ de thé. Parfois on se demande comment font les cueilleuses pour récolter les feuilles dans des conditions pareilles.